(...)
Il se fait donc remonter et, pendant qu'il
est attaché, il en profite pour
franchir la corniche qui cotoye le gouffre
; c'est palpitant car cette corniche n'a
pas 10 cm de large à certains
endroits. De l'autre côté du
gouffre, son chemin est coupé par
un à-pic de 6 à 7 m ; il
arrive à distinguer au son qu'il y
a là une grande salle. R.Duret
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Comme il est tard, il repasse la corniche,
se détache et nous repartons pour
Besançon où nous sommes
à 7 h 1/4.
Un désavantage des gouffres de
grotte, c'est d'abord le manque de
lumière et ensuite le manque de
place. Je pense que la prochaine fois nous
pourrons pousser plus loin notre
exploration et découvrir de belles
choses.