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Carnet 1

Carnet 1: page 67

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(...) dit que la personne tombée était méconnaissable, et que ce devait être Andlauer ; il était inanimé, le crâne fracassé ; le pouls ne battait plus.
Ils me crièrent alors de faire descendre au plus vite Dayet, Troucin et Drouhard, étudiants en médecine. Mais il n'y avait rien à faire, la mort avait été instantanée.
Je fus aussitôt remonté pour aller prevenir à Besançon. Fernand Vachez descendit et les jeunes filles remontèrent. Puis ils se mirent à l'oeuvre pour remonter le corps jusqu'au pied de la corde. Ce fut une opération très pénible. Enfin, au bout de 3 h ½ , le cadavre était au bas du gouffre. Il fut cousu dans un drapet lié avec un bâton (...)

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