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Le
puits de la Belle Louise. Ce gouffre, profond
actuellement de 116 m, s'ouvre à 350 m de
la grotte des Cavottes.
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Une grande salle. C'est la "Salle du Chaos", à
80 m de l'entrée.
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M.Duret s'enfile dans une toute petite fissure. Il
vient de découvrir la "Diaclase Duret",
passage-clé donnant accès à la suite de
la grotte des Cavottes, au-delà de la salle du
Chaos.
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Ils trouvent bientôt un gouffre qui coupe le
passage. Il s'agit d'un puits borgne de 10 m,
qu'il ne faut pas descendre mais contourner par une
corniche, nommée actuellement le "Faux-Pas". Ce
puits est baptisé 'gouffre Challes' sur le plan grand
format de la page
14 du
carnet 1.
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On y trouve du sulfate de magnésie. Il s'agit
de cristaux d'Epsomite (sulfate de Magnésie
hydraté). L'observation de R.Duret est
pertinente, et précède largement la
publication qu'en fera E.Fournier en 1923.
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A côté de la branche dont je viens de
parler, il y en a 3 autres, beaucoup moins longues. Il
s'agit des galeries se dirigeant à l'est de
l'entonnoir d'entrée, et obstruées au bout de
quelques dizaines de mètres.
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Topographie Duret. Topographie de la grotte des
Cavottes (partie connue à l'époque),
levée le 6 avril 1916. |