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Depuis les derniers ouvrages faits à la grotte de Quingey en 1765, M. le duc de Pecquigni en fit enlever deux colonnes dont une se brisa à la sortie, et dont M. Faton a réuni les pièces par quelques barres de fer qui les unissent en une même masse dans son jardin, à Quingey, tout récemment, encore, M. le marquis de Toulongeon en a fait enlever quantité de pilastres et de colonne pour en faire une grotte artificielle dans les jardins de son château d'Antorpe, près de la route de St Vit à Dole. L'un des passages que l'on avait été obligé d'aggrandir se trouve réduit par les ouvrages à une seule colonne et une espèce de bouteroue en sorte que ceux qui ont vu autrefois les deux premières sales auroient peine à les reconnoittre.

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A mesure que les voutes s'élèvent et s'élargissent, on remarque des stalactites plus considérables qui y sont suspendues comme de gros glaçons, parce qu'elles sont moins exposées à l'avidité des curieux.

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Dans les grottes de St Vit et de Chenecey, les voutes sont d'un fond plus blanc et les stalactites plus fraîches, parce que l'une venant d'étre découverte tout récemment, et l'autre étant très peu fréquentée, elles ont été l'une et l'autre moins exposées à être flétries par les flambeaux.